nos chansons
Ah ! Oui, que je suis à mon aise
Ah ! Oui, que je suis à mon aise
1.Ah ! Oui, que je suis à mon aise Quand j’ai ma belle auprès de moi De temps en temps je la regarde En lui disant embrasse-moi
-
Comment veux-tu que je t’embrasse Quand on me dit du mal de toi
On dit que tu pars pour la guerre Dans le Piémont servir le roi. -
Ceux qui t’ont dit cela, ma chère, Ils t’ont bien dit la vérité.
Mon cheval est à l’écurie,
Sellé, bridé, prêt à partir. -
Alors j’ai versé tant de larmes Que trois moulins en ont tourné. Petits ruisseaux, grandes rivières Pendant trois jours ont débordé.
-
Quand tu seras sur ces frontières
Tu ne penseras plus à moi, non plus à moi. Tu trouveras des Piémontaises
Qui sont cent fois plus belles que moi.6. Si fait, si fait, si fait, ma chère Je penserai toujours à toi.
Je ferai faire une peinture
À la ressemblance de toi.
Au 31 du mois d’août
- Au 31 du mois d’août
Nous vîmes soudain venir à nous
Une fégate d’Angleterre
Qui fendait la mer et les flots
C’était pour attaquer Bordeaux.
Refrain : Buvons 1 coup, là, là buvons en 2
A la santé des amoureux
A la santé du roi de France
Et merde pour la reine d’Angleterre
Qui nous a déclaré la guerre.
- Le capitaine du bâtiment
Fit appeler son lieutenant
Lieutenant, te sens-tu capable
Dis-moi, te sens-tu assez fort
Pour prendre l’Anglais à son bord?
Refrain
- Le lieutenant fier z’et hardi
Lui répondit: capitaine oui
Faites monter tout l’équipage,
Braves soldats et matelots
Faites les tout venir en haut.
Refrain
- Vire lof sur lof en un instant
Nous l’attaquâmes par son avant
A coups de hache d’abordage
De piques et de mousquetons
Nous le foutîmes à la raison
Refrain
- Que dira-t-on de lui tantôt
En Angleterre comme à Bordeaux
De d’être ainsi laissè surprendre
Par un corsiare de dix canons
Lui qu’en avait trente et six bons.
Au 31 du mois d’août
Avez-vous vu les 3 cocus qui débarquaient
Avez-vous vu les 3 cocus qui débarquaient
1. Avez-vous vu, les 3 cocus, qui débarquaient et s’approchaient ? Ils étaient noirs, comme du cirage, depuis les pieds jusqu’au visage !
Refr : Je cherche la fortune autour du Chat-Noir, au claire de la lune à Montmartre le soir.
2. La vie est dure, sans confiture, mais aussi belle à Neuchâtel. On joue aux Quilles, on bois du vin, on louche les filles avec les mains Refr.
3. La Joséphine elle est malade, du mal d’amour qui dure toujours. Pour la guérir on lui donnera de la salade, 3 fois par jour. Refr.
4. P’tit boulanger, fais-moi crédit, mais n’aie pas peur, je payerai lundi, si tu ne veue pas m’donner du pain, je te casse la gueule sur ton comptoir. Refr.
5. Garçon café, fais moi crédit, mais n’aie pas peur, je payerai lundi, si tu ne veux pas m’donner du pain, je te casse la gueule sur ton comptoir. Refr.
6. Avez-vous vu la mère d’Alus ? Elle s’est foutu en bas l’talus. On y a tout vue, son trou du cul, il est poilu comme le talus. Refr.
7. Adolf Hitler, il est malade, du mal de guerre qui dure toujours, pour le guérir, on lui foutra, de septante-cinq dans le derrière. Refr.
Ban des Industriens - Ding din ding din ding din don
- Ding ,din, ding, din, ding, din, don, à la santé des compagnons.
Les Industriens sont en fête, ils boiront jusqu’au matin,
Sans avoir mal à la tête, en répétant ce gai refrain :
- Ding ,din, ding, din, ding, din, don, Industriens remplis ton verre,
Ding ,din, ding, din, ding, din, don, à la santé des compagnons.
Les mamans sont embarassées, nous disent de rentrer bientôt,
Sans rouler dans les fossés, en répétant ce gai refrain:
Ding ,din, ding, din, ding, din, don, Industriens remplis ton verre,
Ban des Industriens - Ding din ding din ding din don
Boire un petit coup
Boire un petite coup
-
Boire un petit coup c’est agréable, boire un petit coup c’est doux. Mais il ne faut pas rouler dessous la table. Boire un petit coup c’est agréable, boire un petit coup c’est doux.
-
J’aime le jambon et la saucisse, j’aime le jambon c’est bon. Mais j’aime encore mieux le lait de ma nourrice. J’aime le jambon et la saucisse, j’aime le jambon c’est bon.
-
Allons dans les bois ma Mignonnette, allons dans les bois du roi, nous y cueillerons la fraîche violette, allons dans les bois du roi.
-
Non, Lucien tu n’auras pas ma rose, non, Lucien, tu n’auras rien. Monsieur le Curé a défendu la chose, non, Lucien tu n’auras pas ma rose, non, Lucien tu n’auras rien.
-
J’aime le patron et la patronne, j’aime le patron c’est bon. Mais j’aime encore mieux coucher avec sa bonne, j’aime le patron et la patronne, j’aime le patron c’est bon,
C’est à boire
C’est à boire, c’est à boire ce qu’il nous faut. Et bagatelle, vive la bouteille, j’aime mieux la boire que de la payer.
La plus belle de toutes les femmes, c’est la bouteille, la plus belle de toutes les femmes, c’est la bouteille de Neuchâtel.
Et bagatelle, vive la bouteille, amour amour allez-vous promener !
Das Mädel aus dem ersten Stock
- Das Mädel aus dem ersten Stock,
Im Hause mir grad Gegenüber,
Das hatt’ ich längst schon himlich gern und Tag für Tag noch Lieber.
Sie sah so oft verstohlen drein unf lauschte hinter’m Flieder,
Bis endlich winkte ihre Hand,
Dass sie des Liedes Sinn verstand:
Refrain:
Schwarze Maid in deinem stillen Stübchen,
Komm zu mir und werde mein fein’s Liebchen,
Komm zu mir un sei mir lieb und true,
Ja das Semester ist so schnell vorbei,
Komm zu mir und sei mir lieb und true,
Ja das Semester ist so schnell vorbei.
- Die Holde brannte endlich durch,
Ich brachte sie auf meine Bude;
Das n!achste Mal kam sie von selbst ;
Jetzt ist sie meine Trude.
Vor’m Fenster blüht der Fliederbaum,
Die Laute hängt am Nagel,
Wir sitzen auf dem Kanapei und küssen nach der Melodei:
Refrain
- Der weisse Flieder ist verblüht,
Semesterklang hat ausgeklungen,
Da hab’ich meiner schwarzen Maid mein Lebewohl gesungen.
Sie weinte nicht, sie hielt mich nicht,
Sie sah nur in die Ferne und wünschte lächelnd gute Reise,
Ich aber sang die alte Weise :
Refrain.
Das Mädel aus dem ersten Stock
Et Indus est bâtie sur pierre
Et Indus est bâtie sur pierre
-
Et Indus est bâtie sur pierre,
Et Indus ne périra pas.
Et Indus : ah oui, oui, oui, et Indus ah non, non, non, Et Indus ne périra pas -
Mes amis de la table ronde,
Dites-moi si le vin est bon.
Dites-moi : ah oui, oui, oui, dites-moi ah non, non, non, Dites-moi si le vin est bon. -
J’en boirais cinq à six bouteilles,
Une femme sur les genoux.
Une femme : ah oui, oui, oui, une femme ah non, non, non,
Une femme sur les genoux.
Grad aus dem Wirtshaus
- Grad aus dem Wirtshaus nun komm’ ich heraus,
Strasse, wie Wunderlich siehst du mir aus.
Rechter Hand, linker Hand, beides vertauscht.
Strasse ich merk’ er woh, du bist berauscht. La la…
- Was für ein schief’ Gesicht,
Mond, Machst denn du?
Ein Auge hat er auf, eins har er zu!
Du wirst betrunken sein,
Das seh’ ich hell : schäme dich, schäme dich, alter Gesell! La la…
- Und die Laternen erst,
Was muss ich seh’n!
Die können alle nich mehr g’rade steh’n,
Wackeln und fackeln die Kreuz und di Quer,
Scheinen betrunken mich allesamt schwer. La la…
- Alles im Sturme rings,
Grosses und klein;
Wag’ ich darunter mich, nüchtern allein?
Das scheint bedenklich mir, ein Wagestück!
Da geh’ ich lieber ins Wirtshaus zurück. La la…
Grad aus dem Wirtshaus
Hier sind wir versammelt
Hier sind wir versammelt
1.Hier sind wir versammelt zu löblichem Tun, Drum Brüderchen, ergo bibamus!
Die Gläser, sie klingen, Gespräche, sir ruhn; Beherziget: ergo bibamus!
Das heisset noch ein altes, ein tüchtiges Wort, Es passet zum ersten und passet so fort,
Ein Echo, vom festlichen Ort,
Ein herrliches ergo bibamus.
2.Ich hatte mein freuncliches Liebchen geseh’n,
da dacht’ ich mir: ergo bibamus!
Und nahte mich freundlich, da liess sie mich steh’n; Ich half mir und dachte : bibamus!
Und wenn sie, versöhnet, euch herzet und küsst, Und wenn ihr das Herzen und Küssen vermisst,
So bleibt nur, biz ihr was Besseres weisst,
Beim tröstlichen ergo bibamus.
3.Mich ruft das Geschick von den Freunden hinweg: Ihr Redlichen, ergo bibamus!
Ich scheide von hinnen mit leichtem Gepäck, Drum doppeltes: ergo bibamus !
Und was auch der Filz von dem Leibe sich schmorgt, So bleibt für der Heitern doch immer gesorgt,
Weil immer dem Frohen der Fröhliche borgt;
Drum Brüderchen, ergo bibamus.
4. Was sollen wir sagen zum heutigen Tag ? Ich dächte nur: ergo bibamus!
Er ist nun einmal von besonderem Schlag, Drum immer aufs neue: bibamus!
Er führet die Freunde durch offene Tor,
Es glänzen die Wolken, es teilt sich der Flor, Da leuchtet ein Bildchen, ein göttliches vor, Wir klingen und singen : bibamus.
Im Krug zum grünen Kranze
- Im Krug zum grünen Kranze,
Da kehrt’ ich durstig ein.
(: Da sass ein Wander’rer drinnen,
Am Tisch bei kühlem Weim.:)
- Ein Glas ward eingegossen,
Das wurde nimmer leer.
(: Sein Haupt ruht’ auf dem Bündel,
Als wär’s ihm viel zu schwer:)
- Ich tät mich zu ihm setzen,
Ich sah ihm ins Gesicht.
(: Das schien mir gar befreundet,
Und dennoch kannt’ ich’s nicht. 🙂
- Da sah auch mir ins Auge der fremde Wandersamm.
(:Und füllte meinen Becher und sah mich wieder an. 🙂
- Hei! Was die Becher klangen,
Wie brannte Hand in Hand.
(: Es lebe die Liebste deine,
Herzbruder, im Vaterland! 🙂
Im Krug zum grünen Kranze
In jedem vollen Glase Wein
In jedem vollen Glase Wein
- In jedem vollen Glase Wein seh’ unten auf dem Grund.
(: Ich deine hellen Äugelein:)
(: Und deinen s!ussen Mund 🙂
- Da trink’ ich schnell und warte nicht und küsse dich im Wein.
(: Aufs neu’ zu schau’n dein Angesicht.),
(:schenk’ schnell ich wieder ein!:)
- So füll’ und leer’ mein Gläschen ich und trinke immerzu.
(: Nennt man mich nächstens liederlich :),
(: die Schuld mein Schatz, hast du! 🙂
In der Ferne - Nun leb wohl, du kleine Gasse
- Nun leb wohl, du kleine Gasse,
nun ade, du stilles Dach!Vater, Mutter sah’n mir traurig(: und die Liebste sah mir nach :).
- Hier in weiter, weiter Ferne,
mich nach der Heimat zieht!Lustig singen die Gesellen(: doch es ist ein falsches Lied :).
- And’re Städtchen kommen freilich,
And’re Mädchen zu Gesicht;Ach, wohl sind es and’re Mädchen(: doch die eine ist es nicht :).
- And’re Städtchen, and’re Mädchen,
Ich da mitten drin so stumm !And’re Mädchen, and’re Städtchen(: o wie gerne kehrt’ ich um :).
In der Ferne - Nun leb wohl, du kleine Gasse
La Bleu maison
La Bleu maison
-
Nous l’avions bâtie – La bleue Maison
où coula notre vie – dans sa belle saison. -
Nous vivions intimes – unis et joyeux,
mais nous fûmes victimes – des méchants envieux. -
Ils vinrent ensemble – faner sans pudeur l’amitié qui rassemble – notre jeunesse en fleur.
-
Malheur à qui brise – ce nœud fraternel ;
au monde qui méprise – ce qui nous vient du ciel. -
Sous le flot qui roule – qui roule ici-bas
si la maison s’écroule – nous ne chancelons pas. -
Amis, bon courage – bravons leur courroux !
Dieu bénit notre ouvrage – et triomphe avec nous.
Le départ de l'étudiant
-
- Le temps n’est plus de la folie, adieu !
Depuis trop longtemps j’étudie, adieu !
Il faut retourner au pays,
Faut nous quitter, mes bons amis.
Adieu, adieu, adieu, ô jeunesse aux casquettes bleues. (bis)
- Adieu, cité toujours aimée, adieu !
Adieu, la taverne enfumée, adieu !
Mes chants d’amour, mes gais refrains,
Ne troubleront plus vos matins.
- Voici la bleue maisonnette, adieu !
Tu dors encore, ô ma fleurette, adieu !
Encore une dernière fois
Je voudrais voir ton doux minois
- Allons amis, je pers courage, adieu !
Venez jusqu’au prochain village, adieu !
Là, tous ensemble, un peu plus tard
Nous boirons le coup du départ
Le départ de l'étudiant
Les jeunes filles de la Rochelle
Les jeunes filles de la Rochelle
- Les jeunes filles de la Rochelle
Ne sont pas mal du toutElles ont des chemisettesQui leur vont jusqu’aux genous, ou, ou
- Le tailleur qui les a faites
A regardé par dessous.Il a vu une chapelleQui n’est pas celle de Saint Coud.
- Pour entrer dans cette chapelle
Il faut se mettre à genouxEn tenant une chandelleQui n’a pas de mèche au bout.
- Car si elle en avait une
Elle foutrait le feu partout.Les pompiers de la RochelleN’en viendraient jamais au bout.
- Et les gars de la Rochelle
Ne pourraient plus tirer d’coups.Ils iraient tous au borderAu bordel à quarant’ sous.
- Où l’on baise des pucelles
Qui n’ont même plus de tour.Et les filles de la RochelleNe pourraient plus gagner d’sous.
Les moines du Saint Bernardin
- Oui c’est nous les moines du Saint Bernardin
Qui nous couchons tard et nous levons matinPour aller à matines – Vider quelques flacons,Et voilà qu’est bon et bon et bon.
- Pour notre dîner de bons petits oiseaux
Que l’on nomme caille, bécasse ou perdreauxEt la fine andouillette,Et la tranche au jambonEt voilà qu’est bon, et bon et bon…
- Pour notre coucher de bons lits au draps blancs
Avec une nonne de … à … ansA la taille bien faiteEt au mollet bien rond.Et voilà qu’est bon, et bon, et bon…
- Si c’est ça la vie que tous les moines font
Je me ferai moine avec ma JeannetonEt couchée sur l’herbette,J’lui chatouillerai l’menton.Et voilà qu’est bon, et bon, et bon…
Les moines du Saint Bernardin
Leibarzt und Trinker
Leibarzt und Trinker
- Eins hat mir meinen Leibarzt geboten,
Stirb oder entsage dem Wein,
Dem weissen sowohl als dem roten
(:sonst wird es dein Untergang sein :).
- Ich hab’ es ihm Heilig versprochen,
Auf etliche Jahre zwar nur;
Doch nach so zwei schrecklichen Wochen
(:vergass ich den albernen Schwur:).
- Wie trefflich bekam mir die Speise,
Wie schlief ich so ruhig die Nacht!
Wie war ich so munter, so weise
(:so fröhlich zum Sterben gemacht:)!
- Tod, höre! Man hat mir befohlen,
Stirb oder enstage dem Wein!
Sieh, wann du willst, kannst du mich holen
(:hier sitz’ ich und schenke mir ein 🙂 !
Quattro cavai che trottano
1. Quattro cavai che trottano sotto la timonella
(: Questa l’é l’ora bella 🙂 per far l’amor
Refrain : (: Che bella notte che fa!
In gondoletta si va,
Con la Listaa,
A far l’amor. 🙂
2. Vieni alla finestra, Bruna, la bella Bruan
(: al chiaro della luna 🙂 farem l’amor
Refrain
3. Bruna, tu sei gentile, gentil fra le più belle
(: bella come le stelle 🙂 per far l’amor.
Refrain
4. E noi che siamo militi amiamo il vino buono
(: ma più le belle donne 🙂 per far l’amor.
Refrain
Quattro cavai che trottano
Sonnez, sonnez, les cloches de la Collégiale
Sonnez, sonnez, les cloches de la Collégiale
-
Sonnez, sonnez, les cloches de la Collégiale,Sonnez, sonnez, les cloches du Temple du Bas.(: Les Industriens, les Industriens, les Industriens sont réunis. 🙂Car aujourd’hui c’est jour de fête,Pour les parents, pour les amis,Pour les parents, pour les amis,Pour les parents, pour les amis.Sonnez, sonnez, les cloches de la Collégiale,Sonnez, sonnez, les cloches du Temple du Bas.S’il nous fallait pour la Patrie,Accourir au signal du danger,Parmi les fils de l’Helvétie,Les Industriens, sont toujours les premiers.(: Et un, deux, trois, et marquons l’pas,Les Industriens sont toujours là. 🙂Serrons les rangs et répétons gaiment,Ce gai refrain,Vivent tous les Industriens !
Trautes Schätzchen, trag nicht Leid
-
- Trautes Schätzchen, trag nicht Leid,
Blicke nicht so trübe,Dass du nich die einz’ge Maid,Die ich herzlich liebe;Schau, Studenten machen’s so,Lieben mehr also eine.(: Bin ich nich mehr Studio, lieb’ich dich alleine. 🙂
- Gräm dich nich den ganzen Tag,
Dass wir gerne trinken,Dass ich dich nicht küssen mag,Wenn die Gläser blinken.Schau, Studenten machen’s so,Sitzen gern beim Weine.(: Bin ich nich mehr Studio, lieb’ ich dich alleine. 🙂
- Wer nur eine einz’ge küsst bis zur Jahreswende,
Und die andern schüchtern grüsst,Der ist kein Studente.Wer noch nie betrunken war,Der hat nie studieret.(: Wär’ er auch so manches Jahr ins Colleg marschiert. 🙂
- Gold und Sielber lieb’ ich sehr,
Kann’s auch gut gebrauchen,Hätt’ ich nur ein ganzes Meer,Mich hinein zu tauchen;‘S braucht ja nich gesprägt zu sein,Hab’s auch sonst ganz gerne:(: Sei’s des Mondes Silberschein, sei’s das Gold der Sterne. 🙂
- Doch viel schöner ist das Gold,
Das vom Lockenköpfchen meines Liebchens niederrollt in zwei blonden zöpfchen.Darum komm, mein liebes Kind,Dass dich herzen küssen.(: Bis die Locken silbern sind und wir schneiden müssen. 🙂
- Seht, wie blinkt der gold’ne Wein
Hier in meinem Becher:Hört, wie klingt so silberrein froher Sang der Zecher.Dass die Zeit einst golden war,Will ich nicht bestreiten.(: Denk’ ich noch im Silberhaar, gern vergangner Zeiten. 🙂
- Meine Mamma hat gesagt,
Einen Kuss in Ehren kann manEinem Studic sicher nich verwehren.Meiner Mamma weisen Rat folg’ ich gern un willig.(: Was dem flotten Studio recht , sei dem Mädchen billig. 🙂
- Will es einmal das Geschick,
Dass ich Pfarrer werde,Wende Du Dein Angesicht weg von dieser Erde,Bet’ ich einmal das Brevier und das Pater noster.(: Dann geh du, aus Lieb’ zu mir, in ein Nonnenkloster. 🙂
- Wenn das Küssen Sünde wär,
Hätt’s Gott nicht erschaffen,Wenn es ein Verbrechen wär’,Täten’s nicht die Pfaffen.Wenn’s gesundheitsschädlich wär’,Würden’s Ärzte meiden.(: Wenn’s den Mädchen wehe tät’, würden sie’s nich leiden. 🙂
- Mädchen halt die Röcke fest,
Wenn die Winde wehen,Wenn sich da was blicken lässt,Ist’s um euch geschehen.Ja, Studenten sind mal so,Sehen so was gerne.(: Sei’s auch nuch ein Stück vom Po aus der weiten Ferne. 🙂
- Trautes Schätzchen, trag nicht Leid,
Trautes Schätzchen, trag nicht Leid
Wie glüht er im Glase - Am Rhein
Wie glüht er im Glase - Am Rhein
- Wie glüht er im Glase! Wei flammt er so hold! Geschliff’nem Topase vergleich’ ich seen Gold! Und Düfte entschweben ihm blumig und fein. (:Gott schütze die Reben am sonningen Rhein!:)
2. Ruchbraust uns sein Feuer, so schmitzt unser Sinn für euch nur getreuer, ihr Mägdlein, dahin! Wir schwärmen von Kosen, von Minnen un Frei’n ! (:Gott schütze die Rosen am sonningen Rhein!:)
3. Ob oft auch der Tropfen den Zecher bezwingt, Herz- drücken und -klopfen die Schönheit une bringt – wir wollen’s vergeben, vergessen, verzeih’n. (:Den Rosen und Reben am sonningen Rhein!:)